METROPOLITAN ET MISUNDERSTOOD SE PRÉPARENT POUR LES GRS1
L’année 2024 a tout d’une annus mirabilis pour Mario Baratti. C’est sa cinquième saison en tant qu’entraîneur public et celui dont on dit qu’il est aussi sérieux que travailleur touche du doigt l’excellence qu’il visait en s’installant à Chantilly. Vouloir entraîner de bons chevaux est une chose, y parvenir en est une autre : il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus chez les jeunes entraîneurs. La conséquence de la forme de 2024 – 20 % à la gagne, deux victoires de Groupe – est qu’on voit apparaître de nouvelles casaques dans l’effectif. Mario Baratti analyse : « Le travail de l’équipe a payé, mais bien sûr le talent des chevaux aide beaucoup ceux qui les entraînent… »
Ascot en pensant à 2025 pour Metropolitan
À ce titre, le gagnant classique Metropolitan (Zarak) aura beaucoup pesé dans la montée en puissance de son mentor. Ce poulain est typiquement le cheval que tous les courtiers du monde auraient voulu acheter suite à sa victoire dans la Poule d’Essai des Poulains (Gr1). Par bonheur, Metropolitan va rester en France et chez son entraîneur, dans l’attente d’entamer une carrière d’étalon au haras d’Étreham en 2026. Le 3ans est d’une irréprochable régularité sur le mile comme en témoignent ses deux dernières performances : troisième des St James’s Palace Stakes et deuxième du Prix Jacques le Marois (Grs1). Il est engagé le 19 octobre dans les Queen Elizabeth II Stakes (Gr1). Mario Baratti nous a confié : « Tout va très bien. Metropolitan est en grande forme. Nous lui avons laissé reprendre un peu de fraîcheur. À quatre semaines et demie de sa
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