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samedi 22 février 2025
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BOUDOT EN PISTE : LA RÉACTION D’ÉDOUARD DE ROTHSCHILD

BOUDOT EN PISTE : LA RÉACTION D’ÉDOUARD DE ROTHSCHILD

Édouard de Rothschild était président de France Galop lorsque Pierre-Charles Boudot a vu son agrément lui être retiré. Le jockey a d’abord été suspendu par les commissaires de France Galop en vertu de l’article 216 du code des courses. Dans un second temps, à partir de novembre 2022, c’est le ministère de l’Intérieur, via son service central des courses et des jeux, qui a prononcé le retrait de sa licence. C’est toujours le cas aujourd’hui.

Édouard de Rothschild nous a confié : « On ne peut que vivement regretter que la justice et la police des jeux manquent cruellement de moyens. Pierre-Charles Boudot devrait soit avoir été condamné pour les faits qui lui sont reprochés, soit pouvoir exercer librement son métier, mais il n’est pas concevable qu’il soit dans la situation intermédiaire qui est la sienne depuis plus de quatre ans. À l’ère où Elon Musk s’attaque à l’efficacité de l’administration américaine, le fonctionnement de notre système apparaît des plus vétustes ! Quant à l’article 216 du code des courses, s’il était attaqué devant la Cour européenne des droits de l’homme, il serait censuré. »

L’article 216 qu’Édouard de Rothschild évoque et juge non conforme aux droits de l’homme est celui concernant les mesures conservatoires que les commissaires de France Galop peuvent prendre, par décision motivée, notamment les suspensions d’agrément « en cas de poursuites pénales pour des faits susceptibles de porter atteinte à l’image des courses et de nuire à l’organisation des paris ».

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