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lundi 20 janvier 2025

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GOD BLESSING, UN SIYOUNI AVEC DU MODÈLE

LES NOUVEAUX ÉTALONS EN FRANCE

GOD BLESSING, UN SIYOUNI AVEC DU MODÈLE

En 2025, l’élevage français va encore une fois accueillir de nouveaux sires. Soir après soir, nous vous proposons de les (re)découvrir !

L’éleveur classique José Delmotte fait confiance à Grégory et Ambre Vayre (Karwin Farm) pour lancer au haras en 2025 God Blessing (Siyouni). Très beau cheval, bon marcheur, avec de l’os et de la taille, ce miler présente un profil attirant. Et il est proposé à des conditions intéressantes pour les bonnes juments. À la tête du haras d’Haspel, José Delmotte a une jumenterie importante (quantitativement et qualitativement) qui va lui permettre de soutenir son élève et représentant au haras. Il a aussi acheté des juments à Deauville et Newmarket spécifiquement choisies pour le jeune sire. Grégory Vayre est enthousiaste à l’idée d’accueillir un fils de Siyouni (Pivotal) à Karwin Farm : « C’est un Siyouni avec un profil très intéressant et de la taille. Je pense qu’il n’a pas eu l’opportunité de montrer l’étendue de ses capacités en course. Très signé par son père, il a une superbe action, avec une bonne épaule et une bonne locomotion. Je suis très content de me lancer dans cette aventure avec son propriétaire José Delmotte, surtout avec un si beau cheval. Il va saillir à 3.000 €. Les juments black types ou ayant produit black type auront droit à une saillie gracieusement offerte par José Delmotte. Quelques breeding rights seront en vente, au tarif de 10.000 € avec une saillie annuelle, ainsi qu’une saillie supplémentaire à utiliser lors des trois premières années. La famille de God Blessing est en pleine progression et ne cesse de sortir des bons chevaux. »

Un miler qui aimait aller devant

God Blessing aurait pu débuter à 2ans. Et Damien de Watrigant l’a d’ailleurs engagé très tôt à 3ans. Il a ainsi gagné « comme à la parade » sur le mile de Bordeaux au mois de mars. Toujours sur le mile, il a gagné sa Classe 2 avec encore plus de marge (quatre longueurs) et Ioritz Mendizabal était clairement enthousiaste en descendant de cheval, déclarant notamment : « Il gagne dans un très bon style. Il a tendance à en faire un peu trop, c’est un cheval généreux. Il a gagné en étant à 70 % seulement. » Lors de sa sortie suivante, dans le Prix de Tourgéville – Fonds Européen de l’Élevage (L), il s’est imposé de bout en bout et en

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