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mardi 25 février 2025
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FRÉDÉRIC LANDON : « AVEC MOINS DE COURSES CREUSES, L’OBSTACLE VA DANS LE BON SENS… »

FRÉDÉRIC LANDON : « AVEC MOINS DE COURSES CREUSES, L’OBSTACLE VA DANS LE BON SENS… »

Par Christopher Galmiche

cg@jourdegalop.com

À quelques jours des 48H de l’Obstacle, Frédéric Landon, vice-président de France Galop et président du Conseil de l’obstacle, nous a accordé une longue interview. Saisonnalité du programme, nouveautés en régions, nombre de partants comme de Quintés, nouvel Auteuil, venue du public… Aucune question n’a été éludée.

Jour de Galop. – Effectif en 2025, le changement de calendrier en obstacle pour le printemps est un sujet qui était déjà évoqué lors du séminaire de l’obstacle, organisé par Jacques Détré, en 2021. On imagine que sa mise en place a dû être un véritable casse-tête au regard du calendrier global…

Frédéric Landon. – C’est un travail de longue haleine pour tout le monde et qui n’est autre que le prolongement du séminaire de l’obstacle. Cet automne, puisque nous avions décalé la reprise d’Auteuil du fait des Jeux Olympiques, nous avons eu une première étape et nous achèverons le projet en décembre. Ce travail sur la saisonnalité de l’obstacle, nous le mettons aussi en Å“uvre en 2025 puisque nous allons débuter la saison d’Auteuil plus tôt – le 15 février – pour la terminer plus tôt également, le 31 mai. Ensuite, nous reprendrons le second semestre à Auteuil à la même période qu’en 2024. C’était important d’éviter d’avoir des réunions en juin lorsqu’il y a de fortes chaleurs tout comme début septembre où il peut faire également très chaud. Ces changements participent grandement au bien-être équin.

À quelle date se courra le Grand Steeple si le calendrier d’obstacle est avancé ?

La date du week-end du Grand Steeple a été maintenue. Il se tiendra les 17 et 18 mai. C’est une bonne date, même si nous nous étions posé la question de l’avancer de quinze jours. Mais nous avons considéré qu’il aurait alors été trop difficile de maintenir le parcours des préparatoires au Grand Steeple et à la Grande Course de Haies en l’avançant ainsi. De ce fait, il y avait trois réunions à déplacer. Il y en a une qui sera celle du 15 février au cours de laquelle se disputera le Prix Robert de Clermont-Tonnerre (Gr3). Il en reste donc deux : l’une ira sur Clairefontaine et l’autre sur Dieppe dans le courant du mois du juin. Pourquoi Clairefontaine et Dieppe ? Parce que ce sont des hippodromes marins et que les pistes y sont de qualité avec une souplesse qui convient à la discipline de l’obstacle. Comme ce sont des hippodromes situés à proximité de la mer, nous pouvons bénéficier de températures plus adaptées à notre sport. Reste à savoir ce que l’on fait avec les nominaux des courses de ces deux réunions déplacées qui sont plus élevés que ceux pratiqués à Clairefontaine et Dieppe. Une proposition qui s’est dégagée serait d’augmenter les nominaux de Dieppe pour les porter au même niveau que ceux de Clairefontaine.

Ces deux réunions déplacées à Dieppe et Clairefontaine sont de quel niveau sportif ?

Ce sont des réunions qui se couraient en juin à Auteuil. Il y a aussi des Listeds et nous allons voir où nous les plaçons, si nous les supprimons ou les transformons. Il faut aussi tenir compte que nous avons la réunion dite des consolantes du 31 mai. Une réflexion se poursuit pour revoir les conditions des Groupes programmés ce jour-là. Nous constatons depuis très longtemps que ces Groupes ne sont pas d’authentiques consolantes de la réunion du Grand Steeple. Il est très rare qu’il y ait des partants du Grand Steeple ou de la Grande Course de Haies dans les Prix des Drags (Gr2) et La Barka (Gr2). Je rappelle qu’historiquement le Prix des Drags se tenait à huit jours du Grand Steeple et on y voyait régulièrement des chevaux courir ces deux courses. Peut-être que nous reverrons les distances de ces Groupes du 31 mai pour en avoir de plus courtes. L’idée serait d’en faire la finale pour les chevaux qui n’ont pas le niveau pour courir lors du week-end du Grand Steeple. Le travail n’est pas terminé, la réflexion se poursuit et tout cela ne sera certainement pas mis en application pour le premier semestre 2025.

Les délais que nous connaissons actuellement entre les courses seront-ils conservés, notamment pour le week-end du Grand Steeple ?

Ces délais seront respectés et c’est d’ailleurs pour cela que nous avons transféré deux réunions en juin. Si nous les avions laissées à Auteuil, il y aurait eu trop d’offres de courses. Les délais habituels entre elles ont été maintenus. Si je prends l’exemple du parcours pour le Grand Steeple, le Prix Robert de Clermont-Tonnerre aura lieu le 15 février, le Prix Troytown (Gr3) le 8 mars, le Prix Murat (Gr2) le 30 mars, le Prix Ingré (Gr2) le 26 avril, et nous arrivons sur le Grand Steeple le 18 mai. Ce travail a été fait à l’identique pour les chevaux d’âge sur les haies, les 4ans en steeple comme en haies. Par exemple en haies, le Prix Juigné (Gr3) aura lieu le 22 février, le Prix La Barka (Gr2) remontera et se courra le 23 mars sur 3.900m, puis le Prix Léon Rambaud (Gr2) sur 4.300m le 26 avril, et la Grande Course de Haies d’Auteuil (Gr1) le 17 mai. Le Prix Hypothèse (Gr3) se disputera le 31 mai sur 3.900m. Pour les steeple-chasers de 4ans, le Prix Duc d’Anjou (Gr3) aura lieu le 22 février, suivi du Prix Fleuret (Gr3) le 23 mars, le Prix Jean Stern (Gr2) le 20 avril, et le Prix Ferdinand Dufaure (Gr1) le 18 mai. Il y a aussi la possibilité de courir le Prix Hopper (Gr3) le 22 avril à Compiègne pour ceux qui veulent aller sur le Ferdinand Dufaure. Et on finira sur le Prix La Périchole (Gr3) le 31 mai. Sur les haies, pour les 4ans, le Prix d’Indy (Gr3) aura lieu le 2 mars, le Prix de Pépinvast (Gr3) le 23 mars, le Prix Amadou (Gr2) le 20 avril, avec le Prix Alain du Breil (Gr1) le 18 mai. Puis il y aurait deux courses distinctes qui seraient des consolantes. Le Prix Christian de Tredern (Gr3, 27 mai) serait réservé aux femelles et le Prix Questarabad (Gr3) aurait lieu le 31 mai. Rien n’est inscrit de manière définitive. Nous essayons ce programme pour le premier semestre 2025 et nous ferons un état des lieux ensuite afin de voir si cela a fonctionné. Nous ferons aussi un point sur le nouveau calendrier du second semestre que nous avons mis en place cette année en ne commençant que le 10 septembre.

Est-ce que ce travail a eu un impact sur le calendrier de Compiègne ?

Il n’y a aucun impact sur Compiègne. Avec cet hippodrome, il y a simplement des échanges de courses avec Auteuil suivant le programme.

Qu’en est-il des Quintés en obstacle et de leur nombre ? Est-ce que cela va changer avec la modification du calendrier du printemps ?

Il y aura le même nombre de Quintés. Même s’il y a deux réunions en moins à Auteuil – soit 35 réunions au total – il y aura 25 Quintés. À Compiègne, il y a toujours 15 réunions et 4 événements. Pour les 5ans et plus, en haies, c’était simple avec le même programme. Nous gardons le même nombre de Quintés. Notre souci a été de protéger les steeples pour les chevaux d’âge, catégorie dans laquelle nous avions le plus de difficultés à rassembler les 13 ou 14 partants nécessaires, sachant qu’il n’y a pas beaucoup de difficultés pour remplir les Quintés de haies pour les 4ans ou les 5ans et plus. C’est un tableau général qui est dû au fait qu’il y avait une pauvreté avec les chevaux de steeple mais nous commençons à remonter la pente.

Comment évolue le nombre de partants dans les courses Premium en obstacle ?

Nous sommes sur une bonne tendance depuis le début de l’année. À fin octobre, nous avons réussi à diminuer le nombre de courses à 7 partants et moins. Nous sommes à 21,8 % du programme ce qui représente une baisse de 6 %. Il y a eu aussi moins de courses à 8 et 9 partants et beaucoup plus avec 10 à 13 partants puisque nous augmentons de 4 % dans cette tranche, et en ce qui concerne les courses avec 14 partants et plus, nous augmentons d’environ 3,5 %. Cela va dans le bon sens avec moins de courses creuses en obstacle.

Qu’en est-il de la saisonnalité des courses régionales ?

Nous poursuivons le travail, notamment en qui concerne le programme PMH. Ce n’est pas aisé à mettre en place, notamment sur la période de juillet et d’août car ce sont souvent les dates historiques des réunions qui se courent en région, en particulier pour les hippodromes ayant trois ou quatre réunions. Ce travail se fera en concertation notamment avec les présidents des comités et conseils régionaux et des sociétés de courses. Notre but est d’aller plus sur les hippodromes marins. Mais surtout, nous voulons vérifier l’entretien des pistes et la possibilité d’avoir au moins des terrains souples. Nous distinguons donc les hippodromes qui ont un arrosage automatique, manuel, et ceux qui arrosent à la tonne. Il faut aussi parfois réduire l’offre de courses qui se concentrent sur quelques dates. Il faut arriver à convaincre des hippodromes de changer leurs dates, ce qui se fait en concertation. Ces mesures devraient être mises en application en 2026, voire peut-être pour le second semestre 2025.

Il y a eu aussi une réforme des Grands Steeples de province…

Nous avons constaté que les grands steeples qui avaient le label Listed n’avaient pas le rating exigé. De plus, le niveau Listed fermait certaines courses ensuite. Ainsi, dans un souci d’harmonisation du programme des Grands Steeple-Chases en région, les conditions de huit étapes (Toulouse, Le Lion d’Angers, Dax, Lyon, Craon, Nantes, Angers et Bordeaux) ont été remaniées pour permettre aux chevaux de disputer plusieurs Grands Steeples, sans pénalisation. Ces courses seront de niveau Classe 1 avec une dotation totale de 67.000 €. Nous aurons donc plus de chevaux dont le niveau est limite pour les Listeds et les Groupes qui pourront aller sur ces Grands Steeples régionaux, donc plus de partants. Si cette modification donne satisfaction, nous créerons un Trophée des Grands Steeples de province avec une dizaine d’épreuves, en nous inspirant du challenge de la Coupe d’Or de l’Obstacle qui existait dans le passé. Nous envisagerons alors d’y intégrer des Grands Steeples régionaux courus selon la formule handicap comme à Strasbourg, Nancy, Fontainebleau. Cette réforme doit amener plus de partants car les chevaux auront plus d’opportunités de courir. Ainsi, les turfistes vont les voir plus souvent et cela fera plus d’enjeux.

Est-ce que l’on peut attendre aussi des changements en cross ?

Nous avons aussi une réflexion sur les grands cross et le Trophée National du Cross. Nous pourrions nous inspirer du Trophée Vert au trot avec des épreuves tournantes entre des hippodromes. De fait, il y a beaucoup d’hippodromes qui sont en capacité d’accueillir des grands cross mais ils ne sont pas dans la liste. Nous avons commencé en transférant celui du Pertre à Segré pour 2025. Nous allons voir si nous pouvons trouver pour 2026 d’autres épreuves tournantes qui pourront bien sûr revenir à leurs sites initiaux. Ça permettra d’intéresser plus de sociétés. Il y a aussi, peut-être, des hippodromes qui ne sont plus à la hauteur d’accueillir des grands cross étant donné les nominaux placés sur ces épreuves. Nous sommes en train de reconstituer un cheptel important de chevaux de cross et de plus en plus d’entraîneurs s’y mettent.

Nous approchons des 48H de l’obstacle. Quel est votre regard sur l’édition 2024 de ce grand moment ?

Si tous les engagés courent, nous devrions avoir un très beau spectacle avec un Prix La Haye Jousselin (Gr1) exceptionnel, des partants de qualité dans les Prix Maurice Gillois et Cambacérès (Grs1). Dans le Prix Serge Landon – Grand Prix d’Automne (Gr1), il y aura peu de partants et aucun étranger mais des chevaux de classe notamment ceux de la famille Papot. Il y aura de nombreuses animations pour le public. Le dimanche, nous mettrons à l’honneur Vladimir Vinchon, cavalier de dressage paralympique et des cavaliers de l’équipe de France olympique de concours complet. Enfin, madame Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation de France, nous fera l’honneur de sa présence le samedi.

Vous le souligniez : il n’y aura pas d’étrangers. Que peut-on faire pour les faire venir ?

C’est vrai que nous avons plus d’anglais et d’irlandais pour le week-end du Grand Steeple car cet événement arrive en fin de saison anglaise et ces derniers peuvent donc venir. Mais en l’état, ils ne prépareront pas de chevaux pour les 48H. Notre politique est d’arriver à faire venir chez nous des chevaux qui ont été vendus en Angleterre et en Irlande pour qu’ils reviennent dans notre circuit. Cela commence à se faire avec des propriétaires anglais qui mettent des chevaux chez de jeunes professionnels en France. Ils doivent se rendre compte qu’il y a des courses de qualité et des allocations à la hauteur chez nous. Pour le Grand Steeple, nous avions invité des entraîneurs et propriétaires anglais et pour les 48H, nous avons convié des professionnels irlandais. Nous effectuons beaucoup de démarches et de mailings sur l’Angleterre et l’Irlande afin qu’ils viennent courir chez nous. Nous referons aussi une opération pour le Festival de Cheltenham en faisant venir des entraîneurs et éleveurs français pour essayer de nouer des liens avec des propriétaires britanniques dans le but de les faire venir en France. Lors des grands événements d’Auteuil, nous aurions alors de véritables épreuves internationales. Nous voulions mettre un terme à cette hémorragie qui veut que l’on valorise des chevaux, on les vend et on ne les revoit plus. Il faut pouvoir les faire revenir ! Mais il faut que nos chevaux aussi aillent courir les grandes épreuves anglaises. Ce sera une très bonne publicité pour convaincre les propriétaires britanniques de confier des chevaux à nos entraîneurs. C’est pour cela que la filière de l’obstacle est loin d’être morte comme certains le pensent. Il y a beaucoup de jeunes propriétaires qui s’intéressent à l’obstacle. Et lorsque l’on voit le public qui vient suivre l’obstacle en région, cela donne de l’espoir. Il y a aussi plus de public en région parisienne, même si c’est un peu plus difficile. C’est pour cela que j’ai souhaité que les 48H de l’obstacle aient une touche plus régionale dans tout ce que l’on fait en réceptifs et animations. Le samedi, il y aura un réceptif axé sur les propriétaires. Tous ceux ayant eu un partant en obstacle dans l’année sont invités à venir à Auteuil. Le dimanche, nous mettrons plus en valeur les présidents des sociétés de courses qui courent en obstacle car ils participent grandement à la filière. [Tous les propriétaires des partants de la journée sont invités au cocktail dimanche et au total, France Galop recevra environ 1.000 personnes lors des 48H, ndlr].

Vous parliez de province. Est-ce que l’on pourrait imaginer faire venir du monde de province en s’appuyant sur les PMU en région comme au début des années 2000 où les supporters de Karly Flight s’étaient déplacés pour la suivre ?

Je m’engage à ce que cela soit fait pour le week-end du Grand Steeple. Nous allons commencer à organiser des déplacements en passant par les sociétés régionales et les PMU locaux pour que ceux-ci puissent prévoir la venue de spectateurs à Auteuil. Nous les recevrions alors pour participer à nos deux grands week-ends. Nous avons plusieurs sociétés régionales qui sont venues avec leurs bénévoles sur certaines réunions d’Auteuil.

Qu’en est-il du nouvel Auteuil ?

Nous sommes en phase de travail. Le Comité Auteuil du 12 décembre nous permettra d’avancer. Nous avons fait appel à un maître d’œuvre. Nous poursuivons la réflexion sur le nouvel Auteuil à partir de ce qui a été initié par Jacques Détré, notamment en ce qui concerne le sort de la tribune publique. Nous nous sommes dit qu’avant de détruire, il fallait voir s’il n’y avait pas une possibilité d’utilisation de cette tribune, en la confiant à un tiers qui l’exploite dans le but de générer des revenus pour Auteuil. Je pense que nous arriverons à débloquer le dossier durant le premier semestre 2025. Il est d’une grande complexité compte tenu des autorisations administratives à obtenir. Nous réfléchissons à l’installation d’une P.S.F. à Auteuil. Ce n’est pas une idée saugrenue. C’est une solution pour utiliser Auteuil plus souvent que nous ne le faisons pour la discipline de l’obstacle, en diversifiant l’activité hippique. Des plans ont été établis. Ils permettent sans difficulté l’installation d’une P.S.F. sans porter atteinte aux parcours d’obstacle. Nous n’en sommes qu’à la phase de projet qui ne pourra aboutir que si nous obtenons l’autorisation d’installer un éclairage, ce qui est loin d’être acquis, cette P.S.F. devant être utilisée notamment l’hiver. Avant de prendre une décision définitive sur le périmètre de la rénovation d’Auteuil, il est de notre devoir d’instruire toutes les pistes de réflexion et ce afin d’améliorer la rentabilité économique de ce site exceptionnel.

Faire un éclairage sur les pistes d’obstacle à Auteuil est-il compliqué par rapport aux ombres avant et après les obstacles ?

C’est même impossible ! Nous avons déjà regardé si cela était réalisable mais cela ne l’est pas. Les chevaux peuvent se tromper avant ou après l’obstacle. C’est une source d’accidentologie qui rend malheureusement cette démarche impossible.

À Auteuil, il y a aussi un musée qui était assez bien fait. Pourrait-il rouvrir ?

Dans le projet d’Auteuil, il est prévu de réinstaller un musée. Nous disposons toujours de toute la documentation nécessaire. En outre, plusieurs zones d’activités à destination du public sont envisagées. Il y aura plus d’activités sur l’hippodrome pour occuper les spectateurs entre les courses. Et puis, il faudra aussi végétaliser l’hippodrome qui a été rénové en 1970 à la mode de l’époque, c’est-à-dire avec du béton partout. En conclusion, je tiens une nouvelle fois à rassurer les passionnés de l’obstacle qui sont très nombreux, notre discipline doit disposer d’un cadre moderne, convivial, à la hauteur de notre sport qui est la quintessence de l’hippisme. En un mot, un hippodrome rénové et modernisé qui sera le temple de l’obstacle du 21e siècle.

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