PLUS D’ANGLAIS ET PLUS DE JAPONAIS

« Comme l’an passé, nous avons opté pour une campagne de communication 360° amplifiée en France mais aussi à l’étranger. Sur le offline, la communication passe notamment par une large campagne d’affichage dans Paris (711 affiches) et dans le métro (295 affiches). Cela faisait plusieurs éditions que nous n’avions pas communiqué dans le métro. Nous avons décidé d’y revenir à travers deux affiches différentes pour être extrêmement visibles : l’une autour de la course, l’autre autour de l’émotion qu’elle suscite auprès du public [voir images]. Puis nous nous appuyons, comme à l’accoutumée, sur les radios grand public et sur la presse écrite dans des médias à forte audience (Le Figaro, Le Parisien, L’Équipe, Les Échos Week-end …). Sur le online, nous avons également mis en place un important dispositif digital, extrêmement ciblé là aussi. Sans parler des contenus (interviews, reportages, …) créés par les réseaux de France Galop, et dont Denis Brogniart sera la tête d’affiche, des médias web tels que Kombini parleront aussi de l’événement. »

« Le but est bien sûr de faire toujours mieux que l’année d’avant, où 35.000 personnes étaient venues au cours des deux jours. Là [l’interview a été réalisée jeudi, ndlr], nous sommes en avance sur la billetterie par rapport à l’an dernier. La météo, comme souvent, fera la différence. En tout cas, nos différents réceptifs, dont certains s’inscrivent dans le plan propriétaire, affichent complet [les réceptifs proposés ont fait l’objet d’un article dans nos colonnes lundi, NDLR].

Aussi bien pour le grand public, que pour les passionnés et les acteurs de courses, tout est mis une œuvre pour que l’on assiste à une grande fête. »

« L’an dernier, certains Anglais avaient davantage opté pour la Coupe de Monde de rugby que pour l’Arc. Si nous sommes en avance sur la billetterie, cela vient en partie des Anglais. Une grosse campagne a été menée pour qu’ils viennent et cela porte ses fruits. De nombreux Japonais seront là également. Globalement, les ventes auprès du public étranger ont bien fonctionné. »

« Notre volonté est que le public découvre l’ambiance festive dès qu’il arrive sur l’hippodrome. Par exemple, les fanfares, que nous avions testées le jour du Diane, seront là pour l’accueillir à toutes les entrées. L’une des nouveautés est que le grand tunnel qui passe sous la piste a été habillé avec des photos des gagnants de l’Arc depuis 1947 et une immersion sonore dans les arrivées des dernières éditions. Tout au long de la journée, il y aura aussi des démonstrations des chevaux de Mario Luraschi au milieu du public. La Garde républicaine (sans les chevaux) jouera aussi sur les planches ainsi que sur la piste, en début de réunion et pour la remise du Prix de l’Arc. »

« La volonté de France Galop est de créer une symbiose entre le public et les jockeys. Comme nous avons pu le voir lors des JO, quand le public brandissait les portraits dans les tribunes des athlètes français, nous en avons fait réaliser une centaine de photos grands formats de chaque jockey au départ. Elles seront distribuées dans les tribunes en début de réunion. Plusieurs médaillés aux JO seront d’ailleurs présents, tout comme Ruby Walsh et l’entraîneur de l’équipe de Football de Lille, Bruno Genesio. Nous savons déjà que Nicolas Canteloup sera là, ainsi que Margot Laffitte ou encore Elsa Zylberstein. D’autres personnalités doivent aussi se joindre la fête. »

« L’accent a été mis sur la scénarisation de la course. Avant – avec la parade, le défilé, les images des écuries, la diffusion des courses de références sur les écrans géants – mais aussi après, puisque l’autre grande nouveauté concerne l’arrivée du trophée et sa remise aux gagnants. Cette arrivée fait l’objet d’une scénarisation totalement inédite. »

« C’est un double record : nous avons 300 journalistes accrédités et 37 diffuseurs dans le monde entier. Cela correspond à une soixantaine de pays qui vont couvrir l’événement. C’est très positif. »