Quelle est l’ambiance dans les cours à la veille du coup d’envoi de ce rendez-vous crucial pour les éleveurs français ?
Les acheteurs arrivent à Deauville depuis samedi soir et dès dimanche matin, il y avait de l’activité dans les cours, avec notamment les équipes de Godolphin et de Coolmore, David Redvers, Gérard Larrieu, Paul Nataf, Nicolas de Watrigant, Laurent Benoît, Ross Doyle, Adam Potts de BBA Ireland, Kip Elser qui est arrivé des États-Unis, Federico Barberini, Morten Buskop, Kerri Radcliffe, Alex Elliott, Simon Crisford, Paul et Oliver Cole, Ghislain Bozo, Eckard Sauren, Henke Grewe, Holger Faust, ainsi que les entraîneurs locaux Yann Barberot et Stéphane Wattel…
Parlons du catalogue : comment le jugez-vous ?
Il réunit, après les absents, 750 lots, c’est la limite haute que nous pouvons accueillir en termes de logistique, mais également que le marché peut absorber. Nous avons donc dû effectuer un travail minutieux de sélection, même si cette vente reste graduée en qualité, de la partie 1 du mardi à la partie 3 qui s’étale sur les deux dernières sessions de vendredi et samedi. Les indicateurs objectifs pour juger de la qualité d’un catalogue (pourcentage de mères black types, pourcentage de frères ou sœurs de performers black types) sont au moins aussi bons que les années précédentes. Au sein de la première partie, 40 % des sujets présentés sont frères ou sœurs de chevaux black types, et près de 30 % sont issus de juments black types. Le sire power est fort, avec une belle diversité entre les étalons confirmés et les jeunes qui montent.
Vos équipes n’ont pas ménagé leurs efforts ces dernières semaines pour aller présenter le catalogue…
Il est indispensable d’être présent dans un maximum de pays afin que le plus grand nombre de chevaux soient vendus à un prix optimum. Et dans nos efforts de prospection, nous n’oublions pas les parties 2 et 3 : nous sommes not
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