LES BONNES JUMENTS TIENNENT LE CAP
Cette dernière journée de la vente d’été accueillait les juments et pouliches destinées à l’élevage. Sur les 89 lots présentés, 60 (67 %) ont été vendus à une moyenne de 18.942 € et une médiane de 10.000 €. Les bons profils ont trouvé preneurs et il y avait du monde pour les juments répondant aux critères des éleveurs commerciaux, d’où neuf lots à 50.000 € ou plus, contre sept l’an dernier, où la moyenne des juments et pouliches (18.000 €) était sensiblement la même. Une note positive pour finir cette vente d’été. Et un signe de confiance des acteurs dans l’avenir, malgré un marché (en France et partout dans le monde) et un contexte général qui ne sont en rien évidents.
Cela étant dit, pour toutes les juments ne «cochant pas toutes les cases», le marché est intransigeant et elles sont difficiles à vendre. Le taux de vendus (67 %) en atteste.
Du côté des acheteurs, comme de celui des vendeurs, les acteurs du trot ont tenu le haut du pavé. À commencer par l’association entre Victor Langlais, Philippe Thirionet et Christophe Bridault qui ont acheté le top price, à 100.000 €, pour la Wildenstein Little Dreamer (Siyouni).
Si l’on regarde l’ensemble de la vente d’été, malgré un nombre de lots présentés plus important (488 contre 412), le nombre de sujets ayant effectivement changé de maison recule (326 contre 341). Logiquement, le chiffre d’affaires baisse de 7 % pour atteindre
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