Trois questions à Pauline Chehboub, présidente de la Commission jeunes de France Galop

Jour de Galop. – Qui compose cette Commission jeunes ?

Pauline Chehboub. – La commission est composée d’une vingtaine de personnes, toutes âgées de moins de 35 ans. L’autre point commun entre ces personnes est qu’elles sont très sensibles à l’avenir des courses. Notre volonté était qu’elles proviennent de différents horizons : le plat, l’obstacle, l’élevage, l’Institution ou des métiers en lien avec la technologie [on y trouve notamment Nina Caput (Eqwin), Ruben Elbase (PMU), Charly Milpied (Equidia), Marine Moussa (Arqana), Marie Rohaut (France Galop), ou encore les entraîneurs Florian Guyader et Hugo Merienne, ndlr]. C’est un peu le « Comité de France Galop  » de demain.

Quels sont ses objectifs ?

Cette commission était une proposition de campagne de Guillaume de Saint-Seine. Lorsqu’il a été élu, il a donc décidé de mettre en place cette commission, et il m’en a confié le pilotage. Elle a pour but d’échanger et de partager la vision des « jeunes » et de réfléchir à différents sujets afin de faire évoluer la filière. Nous allons traiter différents sujets. Cela ira des hippodromes de demain au digital, en passant par le pari hippique. Des ateliers de travail ont été créés dimanche en fonction des compétences de chacun. C’est une formidable opportunité donnée aux jeunes par France Galop de participer à l’avenir des courses.

Combien de fois comptez-vous vous réunir dans l’année ?

Notre première réunion, dimanche à Longchamp, a duré trois heures. Les ateliers mis en place vont nous permettre de commencer à avancer sur certains sujets. Notre prochaine réunion de travail aura lieu début juin à Auteuil, la suivante, à Longchamp, à la rentrée. Élie Hennau, les vice-présidents (Arnaud de Seyssel, Frédéric Landon et Philippe Bouchara) et le président Guillaume de Saint-Seine sont attentifs à cette commission. Après chaque réunion, il est convenu que je fasse un feed-back au Conseil d’administration.