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mardi 24 décembre 2024

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Hugo Boutin, futur pilote d’Andreas Suborics

Hugo Boutin, futur pilote d’Andreas Suborics

À 23 ans, Hugo Boutin fait partie des jockeys qui ne cessent de s’affirmer. Auteur d’une année 2023 réussie – plus de cinquante victoires en France et une Listed en Italie – il s’apprête à rejoindre l’écurie de l’Allemand Andreas Suborics.

Jour de Galop. – Pourquoi avoir choisi l’écurie d’Andreas Suborics ?

Hugo Boutin. – C’est avant tout pour me mettre en selle sur des chevaux de meilleure qualité tout en essayant de toucher une clientèle allemande. En faisant cela, j’espère également pouvoir monter des courses black types un peu partout en Europe. L’année dernière, j’ai pu remporter une Listed pour Andreas Suborics avec Best Flying (Pedro the Great) en Italie. J’ai également été placé de Gr2 et de Gr3 à plusieurs reprises et j’ai pu monter une fois dans un Gr1. L’opportunité me sera sûrement donnée d’être associé à de plus jeunes chevaux, notamment à quelques 3ans qui devraient être intéressants. Je vais monter en priorité pour Andreas Suborics, pour lequel j’ai un contrat moral pour l’année 2024. À ce jour, notre relation a plutôt bien fonctionné donc j’espère que cela va se poursuivre. J’irai monter chez lui le matin. La connexion s’est faite par l’intermédiaire de Jocelyn Guedj et de Jean-Pierre Carvalho que je connais depuis de nombreuses années.

Était-ce le bon moment pour se lancer ? Avez-vous été conseillé ?

C’est un choix purement personnel car je souhaitais voir quelque chose de différent. En France, j’ai une clientèle de plus en plus large mais j’éprouve réellement l’envie de monter de belles courses. Sur notre sol, ce n’est pas toujours simple lorsque l’on monte pour des entraîneurs plutôt à l‘honneur dans les handicaps. Aujourd’hui, ces derniers composent le noyau dur de ma clientèle. En changeant un peu d’horizon, j’espère pouvoir être associé à de meilleurs chevaux.

Allez-vous laisser les courses françaises de côté ?

Pas du tout ! J’espère d’ailleurs que je vais pouvoir encore battre mon record de victoires cette année. Cela semble plutôt bien parti vu mes résultats à Cagnes. Enfin, en Allemagne, les belles courses se déroulent en général le dimanche, plus rarement en semaine. Cela va me laisser de belles possibilités de continuer d’évoluer en France. Sans oublier que je fais partie des plus grands jockeys du peloton et que j’ai besoin de monter régulièrement afin de stabiliser mon poids. C’est même une obligation !

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