FAISONS AUTANT POUR LES ÉLEVEURS
QUE POUR LES PROPRIÉTAIRES
S’il y a une proposition qui fait l’unanimité dans toutes les campagnes électorales depuis que l’on vote au galop, c’est bien la nécessité de faire davantage pour le propriétaire actif en France. Pour le recruter, pour l’aider à durer dans le temps, pour atténuer ce qui l’irrite… Assurément, nous avons une réelle marge de progression et c’est le pari que font absolument tous les candidats à la présidence de France Galop.
Dans le même temps, il faut bien le reconnaître, l’élevage est mieux traité en France qu’en Angleterre. Là -bas, il n’existe pas de classement des éleveurs. Pas de primes non plus. Et la pression immobilière a eu raison de beaucoup de haras. En France, nous avons l’impression qu’il faut être plus riche pour être propriétaire que pour être éleveur. En Grande-Bretagne, c’est l’inverse. L’Angleterre possède 30 % de chevaux à l’entraînement de plus que nous, mais aussi 2.000 naissances de moins (en comptant les AQPS) ! Faisons de cette différence un avantage compétitif.