Une vie de bénévole
Épisode 8 : Xavier Bollart
Membres associés ou élus, ils doivent quitter le Comité de France Galop car ils sont atteints par la limite d’âge. Pour Jour de Galop, ils sont revenus sur leur expérience au sein de la société-mère. François Grandcollot et Robert Fournier Sarlovèze n’ayant pas souhaité s’exprimer, cet épisode est le dernier de notre série « Une vie de bénévole ».
Jour de Galop. – Depuis combien de temps étiez-vous membre du Comité de France Galop ?
Xavier Bollart. – J’ai effectué deux mandats successifs. Cela fait donc depuis 2015. À chaque fois, j’ai siégé en tant que président du Conseil régional des Hauts-de-France, une fonction qui permet de faire partie des 28 membres associés du Comité de France de Galop.
Que retiendrez-vous d’autre de toutes ces années au Comité ?
Globalement de très bons souvenirs. Cela m’a permis de beaucoup apprendre sur l’Institution et son réel fonctionnement. De rencontrer des gens d’horizons divers et de grande qualité. Même si l’expérience m’a été très bénéfique, on a parfois l’impression, tout en faisant partie du Comité, d’être assez éloigné des prises de décision. C’est un peu un regret.
La limite d’âge ne vous permet plus de voter au prochain Comité, mais en tant que président de Conseil régional, si vous êtes réélu, il vous sera toujours possible de siéger au Comité (mais donc sans droit de vote). Quelles sont vos intentions ?
Je ne sais pas encore. Je me pose la question de savoir si rester au Comité sans avoir le droit de vote est bien pertinent. De toute façon, si je ne reste pas président du Conseil régional de Hauts-de-France, je continuerai quoi qu’il arrive à être actif dans la filière puisque je suis président de la Société des courses du Touquet, où il y a plusieurs projets à mener.