Une vie de bénévole
Épisode 4 : Claude Maynard
Membres associés ou élus, ils doivent quitter le comité de France Galop car ils sont atteints par la limite d’âge. Pour Jour de Galop, ils sont revenus sur leur expérience au sein de la société mère.
Jour de Galop. – Depuis combien de temps étiez-vous membre du comité de France Galop ?
Claude Maynard – Je n’aurai fait qu’une mandature puisque mon entrée au comité remonte aux dernières élections, en 2019. J’ai été élu dans le collège propriétaires, comme le sont les permis d’entraîner, dont je fais partie. J’étais sur la liste de l’association PP – Province Paris.
Quel bilan tirez-vous de ces quatre années au comité ?
J’ai vraiment eu l’impression que les permis d’entraîner n’étaient pas particulièrement attaqués par les professionnels et par les autres catégories socioprofessionnelles. J’ai trouvé que l’ambiance était bonne dans l’ensemble. Voire très bonne. Cela ne m’a pas surpris car j’avais eu très bons échos de la part de Jean-Jacques Chiozzi, à qui je succédais. C’était donc conforme à ce que j’attendais : pas d’agressivité, pas de violence. À vrai dire, c’est plutôt bon enfant.
Vous quittez le comité, mais allez-vous continuer par ailleurs à vous investir dans la filière ?
Ce sera le cas, car je suis trésorier de l’association hippique de La Teste. Je vais continuer également à occuper la même fonction au sein de l’association des propriétaires – permis d’entraîner. Je continuerai également à venir systématiquement aux sessions d’entraînement d’examens de permis d’entraîner.