LE MOT DE LA FIN
Médias
De longue date, il y a un certain dédain et même parfois de l’hostilité à l’égard des courses hippiques dans les médias généralistes de notre pays. Et cette “tradition” a semblé trouver une continuité dans les productions de journalistes (militants) qui ont diffusé en ligne des vidéos dites “compromettantes”. Fort heureusement, il y a aussi des personnes ouvertes d’esprit qui ne font pas de leur métier dans les médias une façade pour leur militantisme. Ainsi, le 25 juillet dernier, Julie Brault, reporter chez RTL a réalisé un podcast pour l’émission Immersions où elle se mettait dans la peau d’un jockey chez Mickaël Seror. Et, il y a quelques jours, c’était au tour de Brut – un des leaders français chez les médias digitaux – de publier sur ses réseaux sociax une vidéo de 3 min15 au sujet de Mathieu Calbrix. Cet élève de l’Afasec réalise son apprentissage chez Francis-Henri Graffard à Chantilly. Ce reportage est signé Clémentine Rouve et Samuel Toureille. Dans la vidéo, on y observe l’apprenti de 18 ans évoluer en entreprise, chez son patron, mais également sur les simulateurs de l’Afasec. Il explique son parcours, ses motivations et quelques aspects du métier de jockey. Sur les réseaux, un passage semble avoir marqué la journaliste et c’est cette phrase qui apparaît dans la description du reportage : « Les chevaux, il faut prendre soin d’eux et être là matin, midi, et soir pour eux, pour qu’ils soient en forme. » Il faut également noter la présence de Francis-Henri Graffard qui rappelle : « Le métier de jockey est un métier de grand sportif, très physique, où il faut être très compétitif et ne pas manquer d’intuition… »
Si vous souhaitez regarder le reportage de Brut, cliquez ici
Pour écouter le podcast de RTL, cliquez ici