0,00 EUR

Votre panier est vide.

0,00 EUR

Votre panier est vide.

mardi 26 novembre 2024

AccueilCoursesAce, le nouvel Impact

Ace, le nouvel Impact

Chantilly, dimanche

Qatar Prix du Jockey Club (Gr1)

Ace, le nouvel Impact

1er ACE IMPACT

2e BIG ROCK

3e MARHABA YA SANAFI

L’histoire dit que les grands chevaux ont de grands noms… La légende raconte par exemple que le propriétaire japonais Kaneko Makoto a choisi d’appeler l’un de ses poulains Deep Impact, parce qu’il voulait le destiner à avoir un impact profond sur les courses japonaises. La légende s’est écrite au fur et à mesure des courses, puis d’une carrière au haras exceptionnelle qui a donné samedi – entre autres champions – un gagnant de Derby d’Epsom (Gr1). Dimanche, à Chantilly, devant plus de 6.400 personnes (une fréquentation en hausse sur l’an dernier, à 4.700), s’est révélé un poulain qui a tous les atouts pour avoir lui aussi un vrai impact sur les courses. Il s’appelle Impact, Ace Impact (Cracksman) et, dimanche, il s’est imposé en très grand dans le Qatar Prix du Jockey Club (Gr1).

Record battu

L’entraîneur d’Ace Impact, Jean-Claude Rouget, n’en revenait pas. Son propriétaire Serge Stempniak non plus. Le public de Chantilly a assisté à une grande course et une grande performance. Deux grandes performances même, car si le record de l’épreuve a été battu, c’est aussi grâce à un Big Rock (Rock of Gibraltar) impressionnant. Le pensionnaire de Christopher Head a pris un départ volant de la stalle 2 et a mené à un train soutenu, emmené par sa grande action. À 400m du poteau, il était détaché devant – et nombreux étaient les observateurs à penser qu’il irait au bout. Mais Cristian Demuro, encore parmi les derniers du peloton, a mis le clignotant avec Ace Impact. Le poulain a alors déployé d’immenses foulées pour finir en boulet de canon. L’impression visuelle est saisissante. Il ne s’est pas contenté d’aller chercher Big Rock : il l’a déposé, s’imposant de trois longueurs et demie. Big Rock ne démérite pas, loin de là. Ses 35’’75 des 600m à l’arrivée (après avoir mené à un train soutenu) sont plus qu’honorables ! Mais il est battu par un poulain qui possède une pointe exceptionnelle : 34’’01 dans les 600 derniers mètres et avec des fractions de 200m toujours réalisées sous la barre des 11’’50. C’est fort ! En 2’02’’63, Ace Impact bat le record détenu par Sottsass (2’02’’90).

La troisième place revient à Marhaba Ya Sanafi (Muhaarar), à deux longueurs et demie de Big Rock (et donc à six longueurs du gagnant). Il a dû ronger son frein dans la ligne droite, ne trouvant le passage qu’aux 200m. Il a bien fini pour aller chercher l’invaincu Feed the Flame (K) (Kingman), quatrième à trois-quarts de longueur de Marhaba. Epictetus (Kingman) est cinquième à une longueur un quart. Il a fait un bon effort dans la ligne droite avant de trouver le temps long dans les 200 derniers mètres.

Jean-Claude Rouget : « Estomaqué ! »

Le mot “estomaqué” a été souvent prononcé ces derniers jours (c’atait celui choisi par Madame la Ministre de la culture sur Twitter pour réagir au discours de Justine Triet, Palme d’or à Cannes). Jean-Claude Rouget, dimanche, s’est dit estomaqué… mais dans le bon sens !

La méthode Ace Impact

Jean-Claude Rouget a décroché, dimanche, son sixième Jockey Club et le « cinquième en l’espace de huit ans » (comme il l’a lui-même souligné. Il a appliqué une méthode qui lui a déjà réussi dans le passé, en utilisant le Prix de Suresnes (L) comme tremplin, comme ce fut le cas avec Sottsass (Siyouni). Mais Ace Impact diffère de ses autres gagnants de Jockey Club (Le Havre, Almanzor, Brametot, Sottsass et Vadeni) sur un point : il n’a pas couru à 2ans, même si son entraîneur a fait tout comme !

La faute à un mauvais poil… « Nous l’aimons depuis toujours. L’an dernier, il était à Pau et il est monté en juillet à Deauville dans l’idée de débuter dans le Prix de Crèvecoeur. Mais, de tous mes chevaux, il était le seul à avoir un poil d’hiver en plein été ! Je l’appelle Monsieur Sans Souci et c’est le cas. Je n’ai jamais eu aucun problème avec lui, si ce n’est cette histoire de poil d’hiver en plein été. Nous lui avons donc laissé tout le temps nécessaire. Il a débuté à 3ans, à Cagnes-sur-Mer, et nous l’avons couru comme s’il était un 2ans. J’aime Cagnes-sur-Mer, j’y ai couru plein de bons 3ans : Raabiyah, Tamarzite, Port Guillaume… C’est une belle piste, un hippodrome avec un beau profil et j’espère que plus de monde se déplacera pour le meeting, afin de le rendre encore plus compétitif. Ce jour-là, j’ai vu quelque chose… Il battait Axiome (Dubawi), un poulain qui était absolument splendide et il a fait une ligne droite comme aujourd’hui ! Sauf que, aujourd’hui, il avait Big Rock face à lui. Ce sont les chevaux : ils peuvent progresser ou non. Nous le pensions bon mais il fallait qu’il le prouve. Je crois qu’il l’a fait aujourd’hui… »

De l’expérience… et du moral

Jean-Claude Rouget a sa méthode bien rodée pour les classiques. Il l’a suivie avec Ace Impact : « Il est arrivé sur le Jockey Club après le Suresnes, comme Sottsass. Comme lui et Vadeni, il a couru le classique sans avoir pris dur auparavant, mais avec l’expérience nécessaire. Je crois qu’avoir trois courses dans les jambes pour le Jockey Club, c’est très bien. Deux courses, c’est un peu juste. Quand Sottsass a couru le Jockey Club, je n’y croyais pas en raison du terrain et il nous avait estomaqués ; comme Ace Impact aujourd’hui ! Sottsass était exceptionnel, capable de gagner sur tous les terrains. Ace Impact prouve qu’il est très bon aujourd’hui. Ce qui m’impressionne, c’est sa performance face à Big Rock aujourd’hui. Bruno Barbereau fera les calculs… Mais il réussit à revenir sur Big Rock avec des foulées incroyables alors que ce dernier semblait avoir course gagnée. Quelque part, le Jockey Club me rappelle le Derby d’Epsom hier où un poulain semblait avoir pris nettement l’avantage et avait course gagnée à 200m, mais un autre est revenu de l’arrière et a fini très fort. »

Options ouvertes

L’an passé, Jean-Claude Rouget avait tenté l’aventure dans les Eclipse Stakes (Gr1) avec Vadeni (K) (Churchill), qui s’était imposé. Ace Impact est inscrit dans la course de Goodwood, tout comme dans les Irish Champion Stakes et le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe (Grs1). Toutes les options sont ouvertes : « Il est engagé dans les Eclipse mais nous réfléchirons pour la suite. Il a le profil pour le Qatar Prix de l’Arc de Triomphe. Il a le modèle et l’action. Je le préfère en bon terrain comme tous les bons chevaux et il lui faudrait être capable de faire comme Sottsass, qui était capable de gagner en terrain rapide comme en terrain lourd. Il y a des courses avant l’Arc et le programme n’est pas encore établi mais, évidemment, nous sommes tentés. Je suis très content de voir la casaque d’un propriétaire français s’imposer. C’est très sympa ! »

Le grand jour de Serge Stempniak

En juillet 2000, Serge Stempniak a acheté son premier cheval dans une course à réclamer à Deauville. Il s’appelait Perry Island (Petit Lou) et a offert un premier succès à sa casaque pour sa deuxième course, au mois d’août à Clairefontaine. En 2019, Helter Skelter offre un premier black type à la casaque dans le Critérium du Fonds Européen de l’Elevage (L). Vingt-trois ans après, il remporte son premier Groupe sous sa casaque – il était associé sur Coeursamba et Pretty Tiger – et son premier Gr1.

Une victoire surprise

Serge Stempniak avait bien du mal à croire à cette victoire. L’homme, chef d’entreprise dans la construction immobilière et basé du côté de Douai (Hauts-de-France), avait fait le papier : « Avant le coup, je pensais aujourd’hui que nous luttions pour la troisième place. Il y avait Big Rock, mais aussi Feed the Flame, qui était plus difficile à juger car il a peu couru. À l’entrée de la ligne droite, je le vois avant-dernier, avec Big Rock en tête, lui qui est un vrai rouleau compresseur… Quand Cristian le déboite, le poulain est juste impressionnant ! Il s’impose et en plus de loin… C’est assez incroyable. J’ai commencé à avoir des chevaux au début des années 2.000. J’ai bricolé, avec des chevaux à réclamer. De fil en aiguille, nous en sommes arrivés là mais je n’aurais jamais pu imaginer cela. Jean-Claude ne m’a pas dit grand-chose avant la course. C’est un homme qui parle peu. Il a juste dit qu’il était confiant… »

Sous le charme

Sur le chemin entre le rond de présentation et la piste où se trouve le podium, Ace Impact nous double pour retrouver la fraicheur des écuries. Dans le rond des gagnants, il était impressionnant de calme et de sérénité, les oreilles pointées. Le poulain fait preuve d’un tempérament exceptionnel, qui bluffe son propriétaire : « Je suis impressionné par son attitude… Regardez le poulain : il respire l’intelligence ! Aux écuries, il était tranquille. Nous avons voulu lui mettre un bonnet rouge mais, en deux coups de tête, il nous a fait comprendre qu’il n’en avait pas besoin. Là, il retourne aux écuries très calmement, il sait qu’il a fait le travail, sa journée est finie… » Celle de Serge Stempniak ne l’était pas encore… Sa Elounda Queen (K) (Australia) va courir le Prix de Sandringham (Gr2). Elle sera bonne cinquième. Une journée (presque) parfaite…

Le troisième Jockey Club de Cristian Demuro

Brametot (K), Sottsass et maintenant Ace Impact… Cristian Demuro a remporté dimanche son troisième Jockey Club et laissé exploser sa joie. De façon assez amusante, il a bien failli faire une Sottsass après le poteau (il était tombé), en rejoignant l’entourage sur la piste : Ace Impact a fait un petit écart mais, cette fois, Cristian est bien resté en selle !

Une monte “Demuresque”

Certains diront que Cristian Demuro a monté une course parfaite “à la Demuro” : en patience… Le pilote italien avoue avoir « eu des frissons avant même le poteau d’arrivée », tant le poulain a placé une accélération forte. Il a analysé auprès d’Equidia : « Je ne voulais pas le mettre dans le rouge en partant, car la course est partie un peu vite pour lui. Dans la ligne droite, j’avais Rajapour à ma droite et Feed the Flame à ma gauche. J’ai décidé de suivre Feed the Flame, pensant qu’il m’emmènerait loin. J’ai dominé toute la ligne droite. Il fallait juste aller chercher Big Rock. Quand je l’ai déboité, il est allé vraiment très vite. Je pense qu’il va plus vite que Sottsss, étant donné qu’il a battu le record ! Il m’avait beaucoup plu en débutant à Cagnes. A Bordeaux, il m’avait un peu déçu si l’on peut dire, car il avait gagné. Mais Bordeaux est une piste un peu spéciale, qui monte et descend. Puis, dans le Suresnes, il avait fait un truc. Il faut féliciter tous ceux qui sont derrière cette performance, qui sont là tous les matins. Même pour le défilé : c’est la partie la plus dure de la course et ils m’ont aidé. Je les remercie, ils font un travail superbe, de Deauville à Pau. C’est une famille extraordinaire. »

Dans le clan des placés

Les entourages des cinq premiers nous donnent leur ressenti…

Big Rock fait sa course

La performance d’Ace Impact est aussi impressionnante car, devant, Big Rock a mené à un rythme soutenu. Le tracking indique une vitesse moyenne supérieure aux 60 km/h sur quasiment tous les passages (sauf des 800 aux 600m et des 200m à l’arrivée). Le poulain de la Yeguada Centurion n’a pas à rougir de sa performance. Christopher Head, avec son flegme habituel, a commenté : « Big Rock est tombé sur un os aujourd’hui. Mais il a fait sa course car sa performance est vraiment très bonne. Ace Impact a l’air largement meilleur que Big Rock : il a réalisé quelque chose d’exceptionnel. Pourtant, avec le rythme que nous avions imposé durant le parcours, la barre était assez haute. Toutefois, je suis très content de lui. »

Marhaba Ya Sanafi confirme

Marhaba Ya Sanafi, troisième, montre que sa victoire dans l’Emirates Poule d’Essai des Poulains n’était pas juste un “coup de chance”. Le poulain s’est retrouvé bloqué dans la ligne droite et a fini dans une belle action. Andreas Schutz, son entraîneur, nous a dit : « Je suis très content de sa performance. Malheureusement, il n’a pas couru de la manière dont nous le souhaitions : l’idée était d’être plus proche des chevaux de tête. Il s’est retrouvé trop loin et il n’aime pas venir au milieu des autres, mais il a bien fini. J’avais confiance en sa capacité à être performant dans ce classique. Nous avons visé la Poule et il a gagné cette course. Ce podium dans le Jockey Club, c’est donc du bonus et c’est aussi une confirmation de sa victoire. Nous allons prendre le temps de revoir la course et d’en discuter avant de prendre des décisions. Mais je pense qu’il est bien sur 2.000m/2.100m. Le propriétaire aimerait le revoir sur 1.600m. »

Feed the Flame encore immature

Gagner le Jockey Club après seulement deux courses est difficile. Feed the Flame n’a pas réussi à faire une “Reliable Man” dimanche. Le représentant de Jean-Louis Bouchard a manqué de maturité, comme nous l’a expliqué Pascal Bary : « Feed The Flame a manqué un peu de maturité et de compétition. C’est un poulain qui a encore besoin d’apprendre. Lorsqu’il s’est rapproché dans la ligne droite, il a vraiment bien accéléré. Mais quand Christophe Soumillon lui a demandé d’accélérer encore plus fort, il nous a peut-être montré que la piste était un peu trop rapide pour lui. De plus, aujourd’hui, je pense que les deux premiers sont meilleurs que lui. Ce sera mieux sur une piste un peu plus souple, et je pense que Feed The Flame va apprendre son métier. Ace Impact a été impressionnant. Nous allons voir demain comment il rentre, mais le Grand Prix de Paris est une possibilité. »

Dettori finit sur une place

Frankie Dettori montait dimanche son dernier Jockey Club et l’histoire avec le classique cantilien se conclut avec une cinquième place. Des doutes planaient sur la tenue d’Epictetus après les Dante Stakes (Gr2), où il a trouvé le temps long pour finir sur les 2.100m de York. A Chantilly et dans une course rondement mené, le poulain de George Strawbridge a aussi coincé pour finir. John Gosden, son entraîneur, nous a dit : « Il a eu un bon parcours et a bien accéléré. Il a longtemps fait illusion pour la troisième place et n’a cédé que tout à la fin. C’est une bonne performance. »

Concernant Rajapour (K) (Almanzor) et Padishakh (K) (Wootton Bassett), respectivement dixième et septième, Jean-Claude Rouget a commenté : « Rajapour et Padishakh sont certainement limités en distance et ont été brillants. Nous les reverrons sur plus court et à un niveau inférieur. »

La fierté des Allemands de France

Ace Impact a été élevé en Normandie au haras du Long Champ pour le compte de Waltraut et Karl Spanner qui n’ont qu’une paire de poulinières en pension. Ces Allemands n’ont pas pu faire le déplacement jusqu’à Chantilly, mais Karl Spanner nous a confié au téléphone, plein d’émotion : « Il n’a jamais été battu. C’est incroyable. Honnêtement, nous avons du mal à réaliser. »

Barbara Moser est à la tête du haras du Long Champ, une petite structure avec très bons résultats. Comme avec Patascoy (Wootton Bassett), deuxième d’un Prix du Jockey Club (Gr1), ou encore Light Infantry (Fast Company), placé des Prix Jean Prat et Jacques Le Marois (Grs1) puis deuxième du Prix d’Ispahan (Gr1) il y a peu. Allemande installée en France, elle travaille en famille et était très émue lorsqu’elle nous a confié : « C’est inimaginable ce que nous arrive. En une semaine, nous avons deux élèves qui montent sur le podium de Gr1. Pour un petit haras comme le nôtre, c’est fou. Désormais, nous avons une trentaine de juments au haras. Auparavant, les Wildenstein élevaient sur ces terres. C’est là qu’a grandi Aquarelliste (Danehill). Ce n’est pas très original, mais nous essayons de faire du cas par cas, essayer de voir ce dont chaque cheval a besoin. Être une petite structure présente certains avantages. Nous avons commencé nôtre activité avec de toutes petites juments et de toutes petites saillies. Cela fait dix-neuf ans que nous travaillons sur ces terres ! Cette histoire est tellement belle.  Waltraut et Karl Spanner ont hésité à le vendre lorsqu’il était yearling car ils font courir aussi. J’ai essayé de les convaincre de le garder car il sortait du lot dès le jour où il est arrivé au haras, aux pieds de sa mère. Il avait quelque chose mais n’était pas facile. Il fallait le vouvoyer. »

Le grand jour de Cracksman

Ace Impact a été acheté 75.000 € par Jean-Claude Rouget à la vente de yearlings d’août Arqana, alors qu’il était présenté par le domaine de l’Étang. L’entraîneur raconte : « Serge Stempniak a fait le papier et a été influencé par les origines. C’est le frère d’Alessandro, dont il est copropriétaire et que nous pourrions revoir au mois d’août. Je suis allé voir le poulain, je l’ai examiné et il était pour moi sans défaut. Il fallait un prix raisonnable, ce qui fut le cas. »

C’est un fils de Cracksman (Frankel), étalon de Darley qui obtient ainsi son premier Gr1. Après avoir surpris avec ses premiers 2ans, sa production était moins en vue ces derniers temps. Mais Ace Impact lui redonne un coup de boost. Il compte six black types, et 6,7 % de ses partants. Sa production semble bien convenir à la France avec des sujets prometteurs comme Society Man, Silver Crack…

Une mère qui était bonne… et qui produit

Ace Impact offre un premier Gr1 à Anabaa Blue (Anabaa) comme père de mère. La mère, Absolutly Me (Anabaa Blue), est gagnante de deux courses à conditions à 2ans et à 3ans sur 1.600m. Pour l’anecdote, elle a été vendue yearling, présentée par le haras de Saint-Arnoult, à la première vente Osarus, en 2010 au Lion-d’Angers. Elle s’est classée deuxième de la Berenberg Bank Cup et troisième du Prix des Sablonnets (Ls). Ace Impact est le cinquième produit gagnant de sa mère après Apollo Flight (Rock of Gibraltar), lauréat de cinq courses à conditions de 2ans à 5ans sur 2.000m et troisième de la Coupe de Marseille et du Prix Dirickx (Ls), Alabaa (Motivator), vainqueur à quatre reprises de 2ans à 4ans sur 2.000m, dont un gros handicap à Chantilly, et cinquième du Critérium de Saint-Cloud (Gr1), Adlon Rose (Nathaniel), lauréate d’une Classe 4 sur la distance de 2.350m à Machecoul, et surtout Alessandro (K) (Australia), deuxième du Grand Prix de la Riviera Côte d’Azur – Jacques Bouchara (L). Absolutly Me a un 2ans, Arrow Eagle (Gleneagles), à l’entraînement chez Jean-Claude Rouget. SÅ“ur d’Ace Impact, Adlon rose est à la reproduction pour Marie Illegems et Francois Buzon. Et elle est pleine de Craskman… !

La deuxième mère, Tadawul (Diesis), a gagné un maiden à 3ans sur les 1.700m d’Epsom. Outre Absolutly Me, elle a notamment donné Mrs Nobody (Footstepsinthesand), gagnante de huit courses à conditions de 3ans à 4ans, sur des distances comprises entre 1.800m et 2.100m. Tadawul est une sÅ“ur de Mabadi (Sahm), gagnante de Stakes outre-Atlantique et mère du double placé de Gr3 Skyrockets ex-Salai (Myboycharlie), gagnant du Prix Omnium II et du Critérium de l’Ouest (Ls).

LES CHRONOS

TEMPS PARTIELS

Du départ à 1.000m : 1’03”37

De 1.000m à 600m : 24”05

De 600m à 400m : 11”74

De 400m à 200m : 11”80

De 200m à l’arrivée : 11”67

Temps total : 2’02”63

Galileo

Frankel

Kind

Cracksman

Pivotal

Rhadegunda

St Radegund

ACE IMPACT (M3)

Anabaa

Anabaa Blue

Allez Les Trois

Absolutly Me

Diesis

Tadawul

Barakat

VOUS AIMEREZ AUSSI

Les plus populaires